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Pourquoi le Nutella est-il dangereux pour notre santé ?

 Pourquoi le Nutella serai-t’il dangereux ?

Je n’avais aucune envie de tirer a boulet rouge sur un produit. Ce n’est pas l’objet de ce blog. Mais la dernière pub de la marque m’a mis très en colère. C’est pourquoi, un petit tour d’horizon me semble indispensable.

Il est dangereux à plus d’un titre.

Pour notre santé physique

50%  de sucre + huile de palme + des composants multi-transformés = rien de bon pour notre santé

Pour notre santé écologique

C’est sur ce plan que je suis le plus en colère. Leur dernière campagne de pub vante leur approche « écologique » « éco-responsable »  au travers de la culture de palmier producteurs d’huile . Hors nous savons que cette culture intensive est un désastre écologique majeur. Désastre pour la forêt et ces espèces endémiques et désastre pour la faune locale.

Pour notre santé mentale.

Au vu du comportement de certains bipèdes a l’idée de pouvoir consommer ce produit a un prix défiant toute concurrence je pense que ce dernier impacte négativement notre santé mentale. Qu’y a -t-il a intérieur pour générer des fonctionnements de toxicos en manques ?

Je ne me lancerai pas dans une analyse sociale des raisons, valables, qui poussent certaines personnes à se battre pour des pots de pâte à tartiner, j’en pleure plus que j’en ris.

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Tout cela me donne envie de partager avec vous sur le sujet de la nourriture.

Je frôle la caricature, mais vous êtes plutôt :

 adepte du tout prêt parce-que :

  • Vous n’avez pas le temps
  • Vous n’avez pas le choix
  • Vous n’avez pas de sous
  • Vous n’aimez pas les légumes
  • Vous « la bouffe » ce n’est pas votre préoccupation.

Ou alors:

  • “5 fruits et légumes par jour” est votre nouvelle religion!
  • Tout fait maison
  • Du bio, rien que du bio, solo bio, et même Mc Do bio…
  • Du végétal rien que du végétal, vous philosophez végan.

 

 

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Ok, je la fais un peu provoc…

 

On peut quant même se poser la question sur les conséquences physique de la mal bouffe ?

Sur le long terme cette alimentation  apporte un  cortège  de dysfonctionnements, l’acidification du terrain, la diminution de l’immunité et la perte de vitalité cette nourriture étant également totalement « morte ». Cela fait le lit des dysbioses qui créent un terrain inflammatoire permettant le développement des pathologies chroniques et dégénératives. En effet la dysbiose, de plus en plus courante chez de nombreuses personnes installe le mauvais état du micro biote (flore intestinale) et une hyper perméabilité intestinale, la paroi intestinale du sujet est endommagée, ce qui entraîne une malabsorption des nutriments, des carences et le passage d’éléments qui encrassent l’organisme, augmentent entre autre le taux des radicaux libres dans le sang, l’inflammation et le vieillissement des cellules. (https://www.prevention-sante.eu/actus/consequence-de-la-malbouffe)

Je ne sais pas pour vous, mais moi ça ne me donne pas envie !

Après, je consomme aussi  des produit préparés à l’origine inconnue: contradiction.

 

Mais au fait, pourquoi doit-on manger ?

Tout comme pour un véhicule, notre corps a besoin de carburant pour avancer. Sans combustible, pas d’énergie, pas de vie.

 

Le tout premier carburant est l’air que l’on respire.

Ne pas manger ni boire pendant plusieurs jours est possible, ne pas respirer au-delà de quelques minutes pose problème. Certains, les Respiriens, en ont fait leur mode d’alimentation principal voire exclusifs. C’est a dire qu’ils ne se nourrissent pas. Cela ne les empêche pas de vivre. Personnellement, l’expérience ne me tente pas, mais il est intéressant de savoir que c’est possible. Pas facile à mettre en place, mais possible.

 

 

Notre carburant le plus commun est la nourriture. 

De la qualité de ce carburant dépend le fonctionnement de notre machine corporelle. Il ne s’agit pas seulement d’avaler de la matière. Il faut que celle-ci ait les qualités suffisantes pour « nourrir » nos organismes.

Je ne suis pas nutritionniste, ni médecin. Je n’ai aucune compétence  pour argumenter dans le cadre « nutrition ».

 

Mon domaine, c’est l’approche énergétique.

Je vous propose donc d’envisager la nourriture sous l’angle de l’énergie. Non, pas celle contenue dans une calorie, encore que l’on pourrait parler des calories pleines ou vides… Je vous parle de l’énergie du vivant, le machin dont nous sommes tous fait et qui ce trouve bien en amont de la matière. Je vous parle de ce truc que nous avons en commun avec le grand tout et le petit n’importe quoi. Les personnes de ma coterie mesurent l’énergie du vivant a l’aide d’une échelle  graduée en Bovis (du nom de son inventeur)

 

En fait nous mesurons deux choses.Le taux de vitalité et le taux vibratoire (ne pas les confondre).

Pour cela Il  faut une planche de lecture et un pendule. Comment ça ce n’est pas très rigoureux !

 

Taux de vitalité ( sur 100) :  0, c’est « mort » ,  70 bonne santé . A dessus c’est la pleine forme.

Dans l’alimentation, on peut  mesurer le taux de vitalité des fruits et légumes. Une pomme cueillie sur l’arbre et consommée directement garde un taux de vitalité important. Sa consœur qui a 6 mois de frigo est a zéro.

Pour ce qui est du taux vibratoire, les choses sont différentes. Si vous êtes un lecteur régulier de ce blog (bien sur que vous l’êtes) , j’évoque régulièrement le trigramme « énergie, information, matière ». L’énergie, c’est la locomotive. L’information ce qu’il y a dans les wagons et la matière est le résultat. C’est la nature de ce trigramme qui caractérise le taux vibratoire.

Prenons une échelle graduée de 0 a 10000. ( Il en existe d’autres, mais faisons simple).

Taux vibratoire :

  • 0 a 5000 Bovis: énergie allant de  toxique a négative.
  • 5000/6000 Bovis: équilibre, bonne santé.
  • 6000/10000 Bovis: énergie au top.

Imaginons que votre taux vibratoire soit a 5500 Bv. Si vous consommez un produit avec un taux inférieur, il vous pompe. A l’inverse, un produit avec un taux supérieur vous « nourrit »

Après, c’est comme les plateaux d’une balance  » Roberval » (j’aurai jamais pensé qu’un jour, j’utiliserai ce terme !!!) De quel côté, ce que vous mangez, fait pencher le plateau.

Une viande, un fruit ou un légume bien conservé peut avoir un très bon taux vibratoire. Ce dernier dépend surtout des informations qui ont « construit » la matière.

 

Je vous propose une petite illustration très personnelle.

L’été dernier je me suis livré a une petite expérience. J’ai comparé le taux vibratoire de trois tomates. Une de grande distribution; une du marché et l’autre de ma butte de permaculture.

  • Tomate du grande distribution: 2500 Ub (unité Bovis)
  • Tomate du marché: 5500 Ub
  • Tomate de permaculture: 8500 Ub

La première est issue d’une culture « hors-sol ». C’est a dire qu’elle a été crée sous perfusion, sous serre. Elle n’a jamais connu la terre. Qu’elle est l’information de vie qu’elle a reçu ?

La seconde a connu la terre, sans doute labourée et un mode de culture « traditionnel » .

Ces deux premiers plans sont des semences f1 dites hybrides . C’est a dire qu’ils ont été sélectionnés, modifiés, pour favoriser certaines qualités au détriment d’autres.

Notamment les « F1 » ne peuvent pas  bien se reproduire ou sont instables. On leur a enlevé l’information de vie.

La troisième tomate est issue d’un plan non modifié. Elle a, en elle,  toutes les informations relatives a la vie. Elle a poussé sur une butte de permaculture, dans un sol « vivant » . C’est un concentré de vie.

Vous avez sans doute déduit de cette petite expérience, qu’en consommant  “5 fruits et légumes” de super marché,  vous engraissez les semenciers et vous ne faites pas beaucoup de bien à votre corps. Je suis admiratif  de vos facultés d’analyses.

 

Bien manger coûte cher:

Oui et non. c’est une question de balance budgétaire. L’alimentation représente  20,4 % des dépenses de consommation des Français, contre 34,6 % en 1960.

Mais en 60 le poste « média et télécom » n’existait pas, le club med balbutiait, et la consommation de produits manufacturés par les petites mains fragiles d’enfants nés aux mauvais endroits pour le compte de marques soumises au joug des fonds de pensions, n’était pas encore un idéal de vie.

Donc deux gros budgets, le logement et la nourriture. C’était plus simple.

 

Ok donc on fait quoi?

 

Je ne suis pas plus vertueux que vous, donc je fais de mon mieux . Dans la mesure du possible je favorise les producteurs locaux. Bien sur la noix de coco pousse mal en Normandie et en janvier les tomates sont rare. Pour les fruits en dehors de la pomme … Au fait, un kiwi bio qui vient de Nouvelle Zélande via cargo propulsé au fioul lourd peut-il encore être qualifié d’éco-responsable?

Tout est une question d’équilibre. Pensez a la balance  « Roberval » (deux fois dans la même texte je suis trop fort !)

Vous pouvez essayer d’équilibrer les plateaux budget et qualité mais aussi qualité et qualité, qualité & éthique, qualité et proximité, qualité & rapidité, qualité et plaisir….

Pensez a vous.

Mais j’y pense, vous reprendrez bien un peu de pâte a tartiner…