La semaine dernière, la météo avait annoncé un très fort coup de vent. Rien d’exceptionnel en ce début d’hiver. Rien d’exceptionnel non plus lorsque l’on vit dans une région maritime, porte d’entrée des dépressions d’ouest qui arrivent sur la France. Cela fait trente ans que je suis en Normandie . J’en ai passé vingt en relation directe avec le milieu maritme. J’appréhende toujours les coups de vents. Avec le temps je me suis fait une échelle de stress. J’usqu’à 80 km/h tout va bien. De 80 à 100 , je suis attentif. De 100 à 150, je suis inquiet. Au-delà… je ne suis pas bien du tout.
Donc la météo annonçait un fort coup de vent avec des rafales à plus de 100 km/h dans une orientation pas très favorable à mon lieu de vie.
J’étais inquiet.
La première choses à faire lors d’une étude et d’un travail en géobiologie est de « trouver » le gardien du lieu . En arrivant dans une propriété, une exploitation agricole, une maison, on commence toujours par s’adresser au gardien du lieu. On lui demande l’autorisation de travailler sur le lieu dont il a la garde.
Mais c’est quoi au juste le « gardien du lieu »
Il s’agit d’une « entité énergétique ».
Elle peut être perçue de différentes manières : en animal mythique comme un dragon, de matière végétale ou minérale.
Son rôle, comme son nom l’indique, est de garder le lieu où elle se trouve.
Elle en connait toute l’histoire.
Cette entité va « habiter » dans une partie stratégique de la propriété pour la garder tel un cerbère.
C’est souvent l’habitant d’un arbre ancien et puissant situé a l’entrée.
L’arbre est le relais entre la terre et le ciel, le cosmo et le télurique.
Mais ce peut être une grosse pierre… elles ont de tous temps été utilisées pour protéger les lieux.
Les cordonnier sont souvent les plus mal chaussé… J’ai travaillé sur mon lieu de vie, en géobiologie, sans jamais m’adresser a son gardien… Hors, ce jour-là, j’étais inquiet et l’idée m’est venue !!! J’ai demandé au gardien de protéger le lieu et ces habitants.
A ce moment précis , j’ai été parcouru par un immense frisson qui est monté de la plante de mes pieds jusqu’au haut de ma tête. Cette sensation n’a duré que quelques secondes mais l’information était claire pour moi. J’avais « enfin » rencontré le gardien du lieu, de mon lieu de vie. Le vent a soufflé trés fort cette nuit-là. Rien n’a bougé, pas de dégas. Je ne sais pas s’il y a un rapport de cause è effet et cela n’a pas vraiment d’importance. Ce que je sais, c’est qu’il y a cette presence, bienveillante, que je ne manque pas de saluer a chaque fois que je passe devant.
Et vous? Avez-vous rencontré le gardien de votre lieu ?